vendredi 10 septembre 2010

Le crochet de la mort.

Je ne parlerai que de déplaisir,
rien à voir avec la petite mort.

Le crochet se plante dans ma tempe.
Dans une paralysie totale, je bouge de droite
à gauche, comme si on s'amusait à me faire pivoter
sur 180 degrés.
Aucun contrôle.
Anévrisme? Mort soudaine. Douleur brûlante.
Air électrique. Je ne reviendrai plus jamais ici.

Tout s'éteint.


À mon éveil, j'ai perdu mon nom.
La date d'aujourd'hui n'a plus de sens.
L'épreuve est commencée.






2 commentaires:

  1. Mon cher Lukas, mon fils bien-aimé,

    Combien ce texte est fort...les mots et les images parlent d'elles-mêmes et je peux ressentir ta douleur...

    Un seul cœur avec toi; un même Esprit; un seul Seigneur et un GRAND DIEU plein de bonté envers toi.

    Je t'aime
    je t'aime
    je t'aime

    Mom xxxooxxx

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  2. Ja tebe volim. Vive translate.google.com

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