Le chic sonore des coquillages scellés des vases communicants à l'argile craqué.
L'esprit contrit du maquillage manqué à base d'huile de pelican, le coeur saigné.
Languir d'après les titanesques absences;
lenteurs de l'abcès crevé d'ici longtemps.
Temps de guerre, temps de fortune.
Attentats sévères, guerre importune.
Voilà, tout est dit, rien n'est vraiment garanti.
Sur le pélican au Moyen-Âge
Simonac! Quelle prose! Tu manges quoi avant de sortir ça de ton cerveau ??
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